Lions de Metal
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Suivi de la campagne Earthdawn des Lions de Pierre, 6ème saison.
 
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 Chapitre 30 - Le feu des profondeurs

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2 participants
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Valérian
Éclaireur humain et questeur d'Astendar
Valérian


Messages : 842

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MessageSujet: Chapitre 30 - Le feu des profondeurs   Chapitre 30  - Le feu des profondeurs Icon_minitimeVen 23 Nov - 16:25

Chapitre 30 – Le feu des profondeurs


Je fis un rapide examen du ciel et pris quelques respirations profondes pour analyser le fond de l'air. Tout me semblait correct et nous devrions avoir du beau temps pour les jours à venir. Je me tournai vers mes compagnons impatients de repartir en exploration.
Jeb, l'élémentaliste t'skrang toujours posé et diplomate, scrutait le ciel. Sans doute redoutait-il la présence d'un certain oiseau-nuage qui lui avait flanqué la peur de sa vie quelques jours plus tôt alors qu'il était sous sa forme de faucon.
Gothzul, le cavalier ork intrépide et querelleur, affutait pour la troisième fois ce matin son sabre pour masquer sa déception de ne pouvoir emmener son stagian. Il était bien conscient qu'il n'avait guère sa place sur ce terrain montagneux mais son "grokon" lui manquait déjà.
So'Tek, le nécromancien discret et doté d'un sens pratique sans faille, vérifiait une ultime fois son équipement. Ses livres et tous les ingrédients d'herboristerie étaient à leur place, l'approximation n'avait pas sa place chez ce petit t'skrang méticuleux.
Thregaz, le troll écumeur du ciel aimable et courageux, avait le regard perdu dans les nuages. Il s'imaginait sans doute à la proue de son drakkar volant, sondant les nuages et se moquant des petits terriens en bas.
Je donnai le signal du départ et pris la tête du groupe, à quinze mètres devant comme à mon habitude.

Quelques heures plus tard, de gros nuages étaient venus se joindre à notre équipée et nous évoluions sous une pluie fine mais soutenue qui masquait la visibilité, mouillait l'équipement et minait le moral. Alors que je cherchais un abri, j'en étais à me demander s'il y avait un climat particulier autour de Fort Vräss ou si mes compétences en climatologie étaient minables à ce point. C'est alors que je perçu un faible hennissement. Je fis un signe discret aux autres qui s'accroupirent et s'immobilisèrent, sur leurs gardes. Tous les sens aux aguets, je progressai discrètement dans la direction où je pensai avoir perçu le bruit. Juste à côté du ravin, je découvris un abri de construction récente où patientaient quatre chevaux d'écorcheurs orks. Je contournai la construction précaire et poursuivis mon inspection, suivant difficilement des traces qui dataient de plusieurs heures et que la pluie avait commencé à effacer. Les empreintes me menèrent vers le ravin et j'aperçu une corde nouée à un arbre et qui descendait dans le vide. Je jetai un coup d'œil et aperçu, quatre ou cinq mètres plus bas, une petite corniche qui donnait sur une ouverture dans la roche. Je retournai chercher mes compagnons et la décision fut rapidement prise de descendre s'occuper des cavaliers orks et de voir ce qui se tramait là-dessous.

Craignant de tomber rapidement sur les écorcheurs, Gothzul décida de prendre ma place et de jouer à l'éclaireur. Il devrait pourtant savoir que c'est très dangereux le rôle d'éclaireur ! Loin de m'écouter, il s'enfonça dans le couloir sombre… et se blessa sur un piège vingt pas plus loin ! Non mais franchement, est-ce que je me prends pour un guerrier moi ? Le piège étant désormais bien repéré, le reste du groupe passa sans difficulté. Je m'évertuai à tenter de désamorcer cette cochonnerie qui s'est déjà réarmée, dans l'hypothèse où nous devions repartir rapidement, mais en vain. Je décidai de rejoindre le groupe qui avait pris de l'avance et poursuivait l'exploration.
Le couloir avait une pente descendante régulière mais prononcée. Tout le monde avait remarqué que la température augmentait progressivement et ce n'était certainement pas dû à un simple feu de camp. Après plusieurs minutes de marche, la petite compagnie déboucha dans une caverne de vaste dimension. Elle faisait au moins 80 mètres de large et le plafond devait bien monter au moins jusqu'à 40 ou 50 mètres. Quant à la longueur, elle restait difficile à estimer malgré la lueur procurée par le lac de lave situé en contre-bas. Un solide pont de bois et de cordes était tendu par-dessus la masse liquide rougeâtre. Tout cela puait le piège mais notre curiosité était ferrée aussi sûrement qu'un poisson au bout de l'hameçon.

N'accordant guère de confiance au pont, Jeb invoqua un treillage céleste par-dessus l'abîme et commença à s'y engager, suivi par Gothzul et Thregaz, armes à la main. Pour ma part, j'optais pour le pont et So'Tek s'y hasarda à ma suite.
Nos deux groupes progressèrent lentement, tous les sens aux aguets. J'estimai que nous avions effectué environ à la moitié du parcours lorsqu'un cri de So'Tek nous alerta de la présence de raies-scorpions. Toutefois, avant que j'aie le temps de localiser le danger et d'y réagir, je ressentis une vive piqûre dans le cou et j'aperçus une forme volante passer juste au-dessus de moi. Quelques secondes plus tard, une impression de brûlure intolérable me jetait sur les traverses du pont. À grand renfort de volonté, je tentai de me relever mais ne récoltai en récompense de mes efforts qu'une seconde blessure. Terrassé par la douleur, je passai une petite éternité à lutter contre la toxine qui courait dans mes veines.
Je finis par me relever, faible et fiévreux. Mes collègues avaient repoussé les raies-scorpions et reprenaient la progression. Quelques pas devant moi, So'Tek tourna vers moi un regard soucieux. Je le rassurai par quelques mots encourageants tout en chargeant mon arbalète. Peu convaincu, le nécromancien repris néanmoins sa progression pour aller soutenir nos autres compagnons : des écorcheurs orks étaient apparus de l'autre côté du pont et pointaient leurs arbalètes vers le trio d'adeptes.

Je pris encore quelques secondes pour me remettre. Aux yeux des deux raies-scorpions survivantes, je devais apparaître comme une proie isolée de choix puisqu'elles me foncèrent dessus. Mais cette fois, j'étais prêt à les recevoir : la première reçu un carreau en pleine tête et termina son attaque dans le lac de lave. La seconde estima que la fuite était, finalement, le meilleur choix pour elle. Sans cesser de surveiller régulièrement derrière moi, je repris ma progression sur le pont de corde pour aller aider mes compagnons qui bataillaient contre des orks.
À une trentaine de mètres de là, j'aperçus Monsieur, qui a pris pied sur la corniche du fond, recevoir un carreau à bout portant et s'écrouler. Quelques secondes plus tard, un sort partit du côté des orks vers Gothzul. Notre vaillant cavalier tourna les talons et s'enfuit comme s'il avait un troupeau d'Horreurs aux fesses. Nos deux combattants étaient désormais indisponibles… là ça sentait pas bon du tout !
S'engagea alors un duel à distance entre les deux t'skrangs et moi d'un côté, et quatre orks en face. À ce jeu-là, nos deux lanceurs de sorts firent, une fois encore, la différence. Un ork s'écroula, un autre s'enfuit, trop blessé pour poursuivre le combat. De mon côté, j'écopai d'un carreau et cette troisième blessure faillit être celle de trop. Il s'en fallu de peu que je ne bascule dans l'inconscience et dans le lac de lave. Je parvins à me raccrocher à la rambarde en corde et répliquai par un carreau qui - plus par chance que par adresse vu mon état - trouva le cou de ma cible qui s'écroula net. Le survivant décida de détaler à son tour alors que Gothzul revenait, pas heureux du tout d'avoir été privé de baston par un procédé magique déloyal.

Le combat avait été âpre. Thregaz revint à lui et les t'skrangs le requinquèrent à coup de sorts et de potions. Ce troll est increvable et c'est tant mieux pour nous. Nous prîmes quelques instants pour nous reposer et nous soigner pendant que Gothzul, intact et revanchard, surveillait la porte massive par laquelle les orks survivants avaient fuis.
Quelques instants plus tard, nous pénétrâmes dans une salle ovale d'une longueur d'environ 20 mètres. Les orks nous y attendaient mais, cette fois, ils étaient en sous-nombre et le combat fut expédié. Moins d'une minute plus tard, nous étions maîtres du champ de bataille et pûmes examiner à loisir la salle dans laquelle nous étions. Les murs étaient décorés jusqu'à mi-hauteur de fresques qui représentaient des créatures du feu. À l'autre extrémité de l'ovale, deux larges marches mènaient à une double porte massive en bronze qui ne comportait aucun système d'ouverture et qui refusait obstinément de bouger. Sur les portes nous aperçûmes des inscriptions incompréhensibles. So'Tek nous informa que c'est du Théran et qu'il savait le lire. Il déchiffra une énigme : "Je puis être aussi grand qu'un troll ou aussi petit qu'un sylphelin mais je ne pèse rien. Le feu préside à ma naissance." Gothzul suggéra "ombre" et proposa à So'Tek de faire de l'ombre sur la porte. So'tek plongea la pièce dans l'obscurité grâce à un sort de son répertoire. Quelques secondes plus tard, les portes se débloquaient. J'aurai bien émis quelques doutes quant à la logique de la chose, mais cela avait marché donc je gardai mes commentaires pour moi.

Nous pénétrâmes ensuite dans un grand hall avec des piliers monumentaux en marbre le long des murs latéraux. Des bas-reliefs représentaient de nombreuses créatures variées et un elfe visiblement puissant. Le sol était composé de dalles en damier, de couleurs rouge et vert. La salle faisait environ 18 mètres de longueur par 12 mètres de largeur. J'aime bien être précis dans mes rapports. Une porte ouvragée nous narguait en face.
Jeb invoqua un trône des vents et se déplaça prudemment au-dessus du damier. Quelques cases plus loin, une lueur venue du plafond se posa sur lui et un mot inconnu résonna dans la salle. So'Tek cria à l'élémentaliste de reculer car il venait d'identifier un sceau de garde. Jeb se servit alors de sa vision astrale pour sonder les pièges magiques et remarqua rapidement qu'ils étaient omniprésents dans la pièce et que la plupart des cases au sol étaient dangereuses, de même que les murs. Cela nous prit un peu de temps mais Jeb parvint à trouver un chemin sûr et le groupe parvint à traverser sans encombre. Une fois parvenu à la porte et s'être assuré qu'elle n'était pas piégé, Thregaz s'engagea dans l'escalier en colimaçon qui montait, suivit par le reste de la compagnie.
À l'étage supérieur, nous débouchâmes dans une grande salle ronde avec une large meurtrière qui donnait sur le pont de corde et le lac de lave. C'était un beau poste d'observation et de défense pour des arbalétriers. Heureusement que les orks n'étaient pas parvenus jusque-là car cela nous aurait singulièrement compliqué la tâche. Je remarquai alors que les autres étaient tous très appliqués à lire des lignes inscrites sur le mur circulaire. Je m'en approchai à mon tour, curieux de savoir ce qui pouvait être aussi passionnant…

Quelques secondes plus tard, Thregaz m'attrapa par l'épaule et m'éloigna du mur. Je me tournai vers lui avec incompréhension. Il nous expliqua alors à tous que cela fait plusieurs minutes que nous restions là, face au mur, à lire toujours les mêmes lignes. Bref, nous avions été victimes d'un enchantement subtilement vicieux. Nous décidâmes alors de nous éloigner de ce mur et de poursuivre l'ascension de l'escalier en colimaçon.
L'étage supérieur semble être le dernier ; en tout cas l'escalier ne va pas plus loin. Nous avançâmes dans un vestibule qui comportait quatre portes de chaque côté et une double porte au fond. Ces portes étaient assez simples, sans commune mesure avec celles du premier niveau. Jeb ouvrit la première porte sur la droite et pénétra dans ce qui était visiblement une chambre. Le mobilier était rustique et elle semblait inoccupée depuis bien longtemps. Après un rapide examen, nous étions dans ce qui avait été des quartiers d'habitation, mais il ne restait rien d'intéressant ni aucun indice sur ce qui s'était passé. Pas de vandalisme non plus. Peut-être les occupants avaient-ils quitté ce lieu pour rejoindre un caër juste avant le Châtiment. Nous ne le saurons sans doute jamais.
Quoi qu'il en soit, nous étions tous très frustrés d'avoir fait tout cela pour rien. Gothzul et moi entreprîmes de fouiller à nouveau toutes les pièces, méticuleusement alors que les trois autres retournaient à l'étage inférieur. Après d'une heure à ouvrir des tiroirs vides, bouger des meubles, et sonder des murs sans aucun résultat, j'abandonnai et me posai sur une chaise et sorti mon luth pour oublier mon dépit dans la musique.

Quelques instants plus tard, So'Tek nous appella de manière paniquée : Monsieur avait disparu. Disparu, comment ça disparu ? Cela ne disparaît pas comme ça un troll ! Le temps que le cavalier et moi-même descendîmes, Thregaz était revenu. Il nous expliqua qu'il cherchait un passage secret dans le mur circulaire et qu'il poussait avec obstination lorsqu'il est passé à travers le mur pour arriver dans un couloir. L'un des murs était donc une illusion. Mais cela n'était pas une simple illusion, comme nous pûmes le constater : il fallait un réel effort de volonté pour traverser et cela nous occasionna bien des difficultés et des douleurs pour parvenir à tous franchir l'obstacle.
Derrière, après un couloir de quelques mètres, se trouvait un escalier qui descendait. On bas, notre progression fut stoppée brutalement par une porte de bronze qui intriguait Thregaz. Grâce à sa vision astrale, Jeb confirma que la porte était bien défendue. Cette magie était assez semblable à un sceau défensif d'une porte de caër, en moins puissant. Alors que chacun se demandait comment passer ce nouvel obstacle, Thregaz, par témérité ou impatience, poussa la porte et reçu le sort. Immédiatement, la peau de son corps commença à se soulever et à tourner sur elle-même. À l'aide de tout leur arsenal de sorts et de potions, les deux t'skrangs parvinrent à éviter le trépas à notre écumeur du ciel. Mais c'était passé très près, une fois de plus pour ce pauvre Thregaz. Il était sauvé mais inconscient. Notre force de frappe venait d'être réduite de moitié.

Après avoir correctement soigné et installé le troll dans le couloir, nous pénétrâmes dans la salle. Nous nous attendions à trouver enfin quelque chose qui justifie toute cette débauche de protections. Nos espoirs allaient une nouvelle fois être déçus : la pièce, qui n'était qu'une petite caverne naturelle aménagée, ne contenait qu'une quinzaine de gros coffres vides. Il restait quelques piécettes dans la poussière, mais rien de plus. Par dépit, je fouillai attentivement la pièce, m'intéressant surtout aux murs. Je finis par trouver un passage secret et je rameutai mes compagnons. Cette fois, je pris la tête dans le boyau étroit. Après quelques dizaines de mètres de marche irrégulière, nous débouchâmes sur une corniche qui longeait le lac de lave en contrebas. Estimant l'endroit dangereux, je préférai m'y aventurer seul. Ce n'était pas la peine de prendre de nouveaux risques s'il n'y avait rien au bout. Jeb décida, néanmoins, de m'accompagner sur son trône des vents.
Une vingtaine de mètres plus loin, la corniche donnait sur une avancée en surplomb du lac de lave. Au milieu de cette avancée, un bâton magnifique flottait à un mètre du sol. Vu la décoration et le lieu, il devait concernait l'élément feu. Cependant, l'endroit ne m'inspirait aucune confiance. Mais l'élémentaliste, apercevant l'objet, ne tint plus de joie et s'en empara.

Quelques secondes plus tard, le gardien fit son apparition dans une gerbe de lave : un élémentaire de feu d'une belle taille. La créature concentra ses assauts sur le malheureux t'skrang. Dans l'espoir de détourner son attention, je lançai une attaque précise et je parvins à le blesser assez gravement. Toutefois, sa grande mobilité et ses attaques de zone dévastatrices ne nous laissaient pas beaucoup de chance. Une nouvelle blessure plongea Jeb dans l'inconscience. L'élémentaire s'en approcha et récupéra le bâton qu'il remit ensuite à sa place. Gothzul et So'Tek étaient accourus à notre aide et nous pûmes mettre l'élémentaliste à l'abri. Constatant notre repli, la créature replongea dans le lac de lave.

Avec Jeb et Thregaz blessés gravement et moi-même en piteux état, il était hors de question de poursuivre le combat. Nous savions désormais comment revenir et ce que nous aurions à affronter. Le bâton était visiblement là depuis longtemps. Il pourrait patienter jusqu'à notre retour.
En tout cas, il avait intérêt à en valoir ce coup ce foutu bâton parce que c'est tout ce que nous avions trouvé. Alors que mes compagnons portaient Jeb vers le chemin du retour, je me retournai vers l'endroit où avait disparu l'élémentaire. "À très bientôt" pensais-je.


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MessageSujet: Re: Chapitre 30 - Le feu des profondeurs   Chapitre 30  - Le feu des profondeurs Icon_minitimeMar 13 Aoû - 15:14

Est-ce que notre infatigable éclaireur-barde aurait l'obligeance de bien vouloir mettre à jour les résumés de ses aventures, pour que Jeb puisse rattraper le contenu de votre dernière aventure sans que cela ne prenne trop de temps en racontages lors de la prochaine séance ?

Merci d'avance !
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Valérian
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Valérian


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MessageSujet: Re: Chapitre 30 - Le feu des profondeurs   Chapitre 30  - Le feu des profondeurs Icon_minitimeMar 13 Aoû - 18:51

J'ai commencé à m'y remettre.
J'espère mettre à jour tout ça d'ici la fin du mois.

D'ici là, tu peux aussi rattraper ton retard sur le Shadow forum qui est resté bloqué au chapitre 17.Wink
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MessageSujet: Re: Chapitre 30 - Le feu des profondeurs   Chapitre 30  - Le feu des profondeurs Icon_minitime

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